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 HENRIN-KLEMENS Vincent {V.1}

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AuteurMessage
Vincent Henrin-Klemens


Humain, Noble

Masculin Nombre de messages  : 27

Localisation  : Au château, à regarder une rampe et me demander si je peux encore glisser dessus.XD
Emploi/loisirs  : Là, tout de suite, je me demande si c'est une bonne idée de dire à Mary que j'ai prévu le mariage dans deux semaines?^^
Humeur  : Bonne, comme toujours! Surtout si tu es une fille, jolie, avec un bonnet supérieur ou égal à D...XD

Inscrit depuis le   : 05/11/2009
Vincent Henrin-Klemens
Humain, Noble


Feuille de personnage
Age: 23 ans
Race: Humain
Arme / Pouvoir  : Une épée

HENRIN-KLEMENS Vincent {V.1} Empty
MessageSujet: HENRIN-KLEMENS Vincent {V.1}   HENRIN-KLEMENS Vincent {V.1} EmptyLun 16 Nov 2009 - 18:59

~////////Votre personnage////////~







Nom: Henrin-Klemens {Hènrinn-Klémennss}, il te fais chier, ce s, hein, Never? Hm, et comme je lui trouvais pas PRENOM composé, je lui ai mis un nom de famille comme ça, eh oui... Pauvre Mary-Morgann, hein?XD

Prénom: Vincent, il a un prénom, alors on l'utilise, pas "FM"...

Age: 23 ans, si si, et le premier qui le traite de grand-père, je lui casse la gueule...XD

Race: Humain, je vous jure.XD

Camp: Celui des blaireaux affamés!XD
Nan, l'Est... Même si c'est un peu pareil, au fond...u__û

Arme (ou pouvoir): Une épée, je pense, pas d'inspi, et grosse flemme de chercher quelque chose de plus développé... En plus, de toute façon, il aura pas à se battre ici, parce que tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil et que j'interdit à qui que ce soit d'autre que Mary de lui faire du mal... Compris?XD

Fonction: Noble, mais être le fiancé de Mary et le frère de A.A, c'est déjà un vrai boulot en soit...XD

Lieu de résidence (Esidir, Litinna, le château...): La cabane du castor de l'Erve... Le chateau, of course!>o<

Description physique (4 lignes complètes minimum):Vincent est une jeune homme qui, dans l'ensemble, n'est pas ce qu'on pourrait qualifier de laid. En effet, s'il n'est pas non plus la plus belle personne de cette terre, le contraire n'est pas plus valable, objectivement parlant. Bien entendu, à l'âge de vingt-trois ans, il aurait été malheureux qu'il ai encore un visage d'enfant, efféminé et tout ce genre de qualificatif qu'on pourrait encore y rattacher. Alors non, il n'est pas quelqu'un de particulièrement androgyne, et ne s'en plaint pas, loin de là même, ce serait même plutôt l'inverse. N'étant ni un géant, ni un nain pour autant, il se trouve dans la moyenne de taille pour un homme, ou tout du moins se plait-il à le penser, autrement dit aux alentours d'un mètre-quatre-vingt-sept. Assez grand malgré tout, donc, mais il n'est pas non plus difficile de trouver pire que cela, et qui plus est, il juge préférable de dépasser les autres que de se faire dépasser, justement. Faire un mètre soixante-dix l'aurait dérangé, et un mètre quatre-ving-quinze de même mais il doit bien avouer qu'il se trouve relativement bien à la hauteur où il siège. Pour autant, sans être maigre, il est bien loin d'être gros, ou ce qu'on pourrait appeler "baraqué" de quelque manière que ce soit, puisqu'il ne pèse qu'aux environs de soixante-douze kilogrammes en tout et pour tout. Bien sûr, il lui arrive de passer au dessus ou en dessous de cette limite mais, en règle générale, il en reste très proche, et ne voudrait surtout pas l'excéder trop. S'il ne prend pas extrêmement facilement du poids, il reste évident que s'il se met à avaler n'importe quelle nourriture, à n'importe quel moment de la journée et ne fait rien après cela, il en prendra indubitablement. Comme ce n'est pas le cas, cependant, il n'a pas à trop s'inquiéter à ce sujet là. On ne peut pas plus dire qu'il ai l'air fragile, ou quoi que ce soit du même style, sans être de mauvaise fois: bien que du sang bleu coule dans ses veines, il n'est pas plus réticent que cela aux travaux qui exigent une certaine force physique, et ne sera pas incapable de porter des choses s'avérant être quelque peu lourdes (comme sa fiancée.XD) et pesantes. </FONT>
Son visage quant à lui n'est pas plus désagréable à regarder. Fin, il est le plus souvent éclairé d'un grand sourire joyeux, exprimant à la perfection sa bonne humeur, raison pour laquelle ses traits sont en général plus rieurs qu'autre chose. Quand il ressent telle ou telle chose, vous pouvez très facilement le dire par rapport aux expressions qu'il arbore, puisqu'il n'a absolument aucun talent, comme l'ont parfois les gens, pour les dissimuler. Ses yeux son bleus, pas bleu foncé ou encore presque blanc, mais plutôt de la couleur du ciel en été, ce serait sûrement la meilleure comparaison que l'on puisse trouver. Plus fins que ronds, ils n'inspirent pas pour autant une quelconque crainte. Il n'est pas quelqu'un de foncièrement méchant, et cela se voit, tout simplement. Ses cheveux sont bruns mais, selon l'éclairage de l'endroit où il se trouve, on aurait parfois plutôt tendance à les dire auburn qu'autre chose. Courts, il possède néanmoins une mèche partant de la droite de son visage pour aller vers la gauche, mais qui ne lui retombe néanmoins pas dans les yeux, chose qu'il jugerait, en plus d'être relativement peu esthétique, bien peu pratique. Il les garde toujours à cette même longueur, ne voyant pas d'utilité à les laisser pousser trop, laissant les cheveux très longs pour ces demoiselles de la cour. Ses sourcils sont eux aussi fins.
Question vestimentaire, le jeune homme est un noble, et cela se voit. Que ce soit dans son maintient ou ses habits, sa manière de parler ou de faire les choses, on ne pourrait se méprendre sur son rang. Sans qu'il recherche la complexité de certaines tenues, il ne tient pas non plus à sortit habillé n'importe comment, et ne se contente pas, le matin, de prendre la premier pantalon qui lui tombe sous la main, avec n'importe quelle chemise; il ne passera certes pas si longtemps à se préparer que le font les jeunes filles, il ne faut pas non plus exagérer. Ce qu'il porte est de bonne facture, bien ouvragé, vêtements que les simples villageois peineraient énormément à s'offrir sans doute, mais restent malgré tout relativement simples, au final. Il doit avouer avoir une nette préférence pour les couleurs claires, telles que le beige ou certaines teintes de gris, mais le blanc pur et éclatant n'est pas non plus son coloris favoris. Trop voyant à son goût, il suffit en plus d'une malheureuse petite tâche pour que toute la tenue soit complètement ruinée. Cela ne le dérangera pas de porter du noir, mais il y ajoutera alors quelque couleur moins sombre pour égayer le tout, avoir l'air moins triste. De même, du rouge est parfois le bienvenu dans ses costumes. Pas de réelle fantaisie, en somme, et une cravate en règle générale uniforme, mais qu'il ne manque jamais de porter.



Description morale (4 lignes complètes minimum): Vincent Henrin-Klemens est quelqu'un qui, dans l'ensemble, est d'une nature relativement enjouée et rieuse, et assez difficile à mettre en colère. A vrai dire, il n'est pas particulièrement sadique et méchant, et ne passe pas son temps à rabaisser les autres; bien au contraire, il serait plutôt le type de personne à toujours essayer, ou tout du moins autant que possible sans en arriver au point de se mentir à sois-même, à voir le bon côté des choses, l'aspect positif que possède obligatoirement toute situation, et croit fermement en l'expression "après la pluie vient le beau temps". Le plus souvent, il éssaiera donc de se montrer postitif, surtout dans la mesure où, de son oint de vue, cela ne servirait pas à grand chose de se plaindre encore et encore si personne n'est en mesure de changer quoi que ce soit à ce qui pourrait nous déranger. De son avis, au lieu de se plaindre du noir, il vaut mieux allumer une chandelle... De presque constante bonne humeur, donc, il n'hésite généralement pas un seul instant à le faire savoir aux autres, que ce soit par un grand sourire comme collé sur son visage, ou bien par une blague quelconque, pas forcément très amusante d'ailleurs, et qui bien souvent tombent à l'eau, il faut le reconnaitre. Ce léger point noir néanmoins ne l'empêche pas de recommencer à peine plus tard, ce n'est donc pour lui qu'un inconvénient mineur. Pour ceux qui l'entourent, un peu moins sans doute, mais de ça il ne fait pas grand cas. Vous l'aurez donc compris, il n'est pas ce qu'on pourrait qualifier de timide de quelque manière que ce soit, et ce de n'importe quel angle duquel on pourrait observer la situation. Aller parler aux autres, même des gens qu'il ne connaitrait pas vraiment, voir même pas du tout ou simplement de vue ne lui fait pas peur comme cela pourrait être le cas pour certaines autres personnes plus réservées et introverties que lui; il n'aime pas être seul, et par conséquent, s'entourer d'amis est encore le meilleur moyen de ne pas se sentir mal. Or, si chacun se contentait de rester tranquillement dans son coin, tout en deviendrait bien plus ennuyeux. Evidemment, il ne faut pas pour autant se laisser penser qu'il passe son temps à faire l'idiot, quelles que soient les circonstances: du sang bleu coule dans ses veines, et il connait donc toutes les règles de politesse qu'il se doit d'appliquer dès lors qu'il s'adresse à un autre membre de la noblesse, et autant dire tout de suite qu'il n'y manque pas. Il respecte à la lettre l'étiquette, simplement, cela ne le rend pas arrogant, et il fait de son mieux pour être aussi honnête que possible. Question mensonge, justement, ce n'est pas qu'il ne sache pas le faire, mais juste qu'il ne s'en donne pas réellement la peine, ou plus exactement, le moins fréquemment possible. Si un mensonge peut sauver une situation de temps à autre, il est parfaitement conscient qu'en abuser, même pour des raisons que l'ont aurait préalablement jugées bonnes, n'aiderait jamais à boucler la boucle. On s'emmêle les pinceaux dans ce qu'on dit, ou pire, on finit par y croire, et au final on finit invaribalement par blesser la personne que l'on voulait, à la base, protéger. Sur des sujets graves et importants, il jouera la carte de la franchise, quitte à ce qu'on le déteste pour un petit moment, plutôt que d'empiler les boniments les uns sur les autres, attendant craintivement le jour où on finirait pas récouvrir le pot-aux-roses et qu'ils ne s'écroulent tous sur lui.

D'autant que, s'il a véritablement fait quelque chose qu'il n'aurait pas du, et qu'on le lui fait très clairement savoir, il s'excusera, ni plus ni moins, autant de fois qu'il le faudra pour qu'il se fasse pardonner, sans insister trop non plus, ce qui serait profondément inutile. En revanche, s'il est en effet compliqué de le mettre réellement en colère, et qu'il prendra nombre de choses avec le sourire, ce n'est pas impossible, et ce n'est pas la peine de préciser que, lorsque cela arrive, il y a obligatoirement une bonne raison à ses yeux. Une très bonne. Cela peut-être le cas si on porte atteinte à l'un de ses amis ou à sa famille, mais aussi et surtout à force d'"accumuler". Qu'on cherche à lui faire du mal, que ce soit physiquement ou, plus couramment, moralement, passe. Mais à partir du moment où cela se produit à plusieurs reprises, il y accordera une plus grande importance, et finira par exiger de vous que vous vous excusiez platement, et que ce soit de sincères regrets, sans quoi il peut tout aussi bien rester sans vous adresser le moindre mot pendant un laps de temps indéterminé, mais assez long de toute manière pour vous faire comprendre que trop, c'est trop, et qu'il ne serait dans l'intérêt d'aucun d'entre vous deux de recommencer, quitte à ce qu'il en souffre aussi.
Le faire pleurer, par contre, est une entreprise qui s'avère être encore plus ardue que cette précédente. Ce n'est pas qu'il ne pleure jamais, bien entendu, comme tout le monde, il a un coeur, mais premièrement il ne le fera quasiment jamais, mais deuxièmement, il ne le ferait jamais en public, il a sa fierté. Il n'a pas peur du ridicule, mais n'appécie pas plus qu'on le pren ne vraiment pour un idiot complet, ce qu'il n'est d'ailleurs pas; même s'il pourrait sembler qu'il agit de manière tout ce qu'il y a de plus impulsive, ce n'est pas vrai. Il réfléchit quand il le faut, et l'un de ses passet-emps favoris sont les échecs, bien qu'il se fasse régulièrement battre, et a une certaine culture. Il a une grande capacité de réflexion, mais surtout, analyse rapidement une situation, même quand elle est relativement compliquée; après cela seulement, il peut s'atteler à chercher une solution à un hypothétique problème. Dans ces moments là, il est calme, certes pas d'un calme olympien, mais tout de même mille fois plus qu'il ne l'est d'ordinaire, comme quoi il peut être sérieux. Disons simplement qu'il n'en a pas envie dès lors que cela ne s'impose pas. De même, il vit au jour le jour et n'aime pas avoir à penser trop fortement au futur. Personne ne sait de quoi demain sera fait, et lui n'y tient pas plus que cela, il préfère de loin les surprises. Ces dernières ne le dérangent absolument pas, ce serait même l'opposé. Que ce soit un cadeau, une visite inattendue, unn évènement imprévu, tout ce qui sort du quotidien dans le bon sens du terme lui convient, c'est pour lui le piment de l'existence.
Du reste, on ne peut pas plus dire de lui qu'il est lâche. Il ne déroge pas à ses devoirs et affronte les situations comme elles viennent, sans fuir ou se cacher. Parce qu'au final, vos obligations finissent immuablement pas vous rattraper et, étrangement, elles paraissent cent fois pires lorsque vous avez tenté de les éviter une première fois. Si quelque chose ne lui plait pas pour autant, il ne manquera pas de le faire savoir, le dira clairement plutôt que d'opter pour les petites phrases ironiques et méchantes de certains. Il pense aux autres, sans pour autant se soucier du sort de la première personne croisée dans la rue. De celles qui lui sont proches, oui. Des autres, n'exagérons rien, ce n'est pas non plus un saint, et il le sait. S'il ne fait pas de véritbales distinctions sociales, il paraît assez évident qu'il aura plus tendance à discuter avec des gens issus du même milieu que lui, ce qui est normal. Mais si, par un de ces heureux hasrads de la vie, il se retrouvait à parler avec un bourgeois et qu'il lui parsaissait suffisemment sympathique, rien ne l'empêcherait d'aller faire ami-ami avec lui. Avec de simples villageois c'est tout de suite évidemment plus compliqué, du fait qu'ils n'ont pas reçu du tout la même éducation, et que trouver des points communs est parfois un tantinet difficile.
Autrement, s'il y a bien une chose qu'il déteste, la routine mise à part, ce sont bien les disputes, qu'il soit impliqué dedans personnellement ou pas, et c'est pourquoi la situation plus ou moins... Tendue, disons, qui règne entre sa fianée et sa soeur cadette le gêne quelque peu. Quand il peut donc, il n'hésite pas une seule seconde à se mêler d'affaires qui ne le regardent en rien, quitte à se faire repousser par la suite.
Dernier point, on ne peut pas le qualifier de personne indécise: quand il croit à quelque chose, il ne change pas d'avis du jour au lendemain, même si on lu fournissait les meilleures preuves du monde, comme quoi cela serait faux: s'il se rend compte de son erreur, peut-être sera-t-il moins inflexuble, mais s'il est persduadé d'avoir raison, c'est une autre poaire de manches, pour ainsi dire...

Histoire (7 lignes complètes minimum): Vincent Henrin-Klemens est né dans la nuit du treize au quatorze décembre, il y a un peu plus de vingt-trois ans de cela, dans une famille de nobles de la cour d'Illea, qui à cette époque n'était bien entendu encore qu'un seul et même pays, que la guerre semblait épargner. Autant vous prévenir de suite que rien de particulièrement frappant et triste n'est jamais arrivé au jeune homme, ou plutôt, rien qui mérite d'être cité ici, qui ai une réelle et grande importance et qui l'aurait profondément marqué. Etant l'aîné de la famille, et par conséquent, durant un certain temps, le seul enfant, il eut absolument tout ce dont il avait besoin, et était, à l'image des autres enfants au château, gâté par le destin, né avec une cuiller en argent dans la bouche. Rien ne manquait, et ce n'était pas lui qui allait s'en plaindre: ni les jouets, ni les cours, ni ses parents, au contraire cette fois ci de certains. Déjà lors de son enfance, il était une personne que l'on aurait aisément pu qualifier de vive, et extraverti au possible, aussi ne mit-il pas bien longtemps à se faire des amis parmis les jeunes de son âge. Turbulent au possible, il n'était pas rare qu'un professeur, à cours d'idées pour le faire rester assis tranquillement et trouver un moyen efficace de le faire s'intéresser plus qu'extrêmement superficiellement aux rudiments, par exemple, des mathématique et de la physique, abandonnent tout simplement cette idée pour se contenter de lui expliquer sans trop se soucier du reste. Néanmoins, il ne fit jamais rien de réellement répréhensible; oh, bien entendu, comme tout le monde il lui est arrivé de briser un vase par inadvertance et de se cacher en espérant que personne ne se ferait accuser à sa place. Bien entendu qu'il lui est arrivé de sortir de sa chambre en pleine nuit pour aller chercher quelque chose à manger dans les cuisines, quand bien même il savait parfaitement que cela lui était interdit, bien sûr. Et comme tout le monde une fois de plus, il lui est arrivé plus d'une fois d'être puni par de strictes parents, sans pour autant que cela l'empêche de recommencer ultérieurement, dès le moment même où ils auraient oublié le fait précédent. Pas, donc, l'enfant modèle, toujours sage et obéissant, mais pas non plus un terrible garnement dont on attend le départ avec une intenable impatience. Un enfant dans la norme, entre les deux, ni plus, ni moins.
A la naissance de sa petite soeur, Anne-Alexia, Vincent ne réagit pas mal, pas le moins du monde: un grand-frère avait le devoir de protéger sa cadette et de s'occuper d'elle au mieux, après tout, non? Alors, il prit cette tache très à coeur. Il n'avait encore que sept ans, et cette nouvelle arrivante dans la famille n'était pas pour lui déplaire. Et puis, cela lui changeait un peu de ce quotidien qui, bien que loin d'être désagréable -il aurait pu beaucoup plus mal tomber, et le savait, d'ailleurs il ne se pleignait de rien- devenait monotone de par sa répétition, la ressemblance des jours les uns avec les autres, les habitudes et gestes à faire qui restaient invariablement les mêmes; c'est donc dans ce cadre qu'on aurait pu dire idyllique qu'il grandit.
Le deuxième "grand changement", pour ainsi dire, dans sa vie après la naissance de la petite Anne-Alexia fut bien évidemment le jour où on lui annonça qu'on lui avait trouvé une fiancée. Il ne devait alors avoir qu'aux environs de treize ans, et les filles, l'amour tout court, en fait, ne l'intéressait alors pas plus que cela: il n'était pas tombé amoureux avant, et ne voyait pas franchement d'intérêt à l'être maintenant. Néanmoins, ce ne fut pas pour cela qu'il fut tout à fait réticent à cette idée, simplement que cela ne l'emballait pas plus que ça que de se retrouver avec une personne dont il ne connaitrait rien, si ce n'était bien sûr qu'ils allaient passer, sans l'ombre d'un doute, le restant de leurs jours ensemble. Son habitude à positiver cependant lui rendait la situation plus sympathique, il fallait bien l'avouer: s'il avait de la chance, alors elle serait une belle jeune fille, agréable et rieuse, qui l'aimerait dès le premier regard et qu'il aimerait aussi ou, faute de cela, avec qui il s'entendrait au moins très bien, et avec qui il pourrait fonder plus tard une belle et heureuse famille. La belle affaire, n'était-il pas? Après tout, il était quelqu'un auquel le destin semblait sourire ou, tout du moins, de qui la malchance semblait de se ficher comme d'une guigne, alors il n'y avait à ses yeux aucune raison que cela se passe mal. Absolument aucune, non, donc il n'avait aucune bonne raison de s'inquiéter. De même, il était assuré que ses parents apprécieraient la demoiselle, en principe, sans quoi il n'auraient jamais accepté de le fiancer avec elle, et sa soeur... Eh bien, Anna-Alexia serait, de son point de vue, forcément complètement emballée par cette idée, et ce serait pour elle l'occasion d'avoir cette grande-soeur qu'elle n'avait pas: toutes les deux s'entendraient à merveille également, et tout serait parfait. Voilà la vision des choses qu'avait alorts Vincent l'optimiste. Il n'aiamot pas envisager le pire des cas, et n'aurait pas aimé se retrouver en face d'une mégère énorme et laide, ça non, mais justement, il ne songeait ue peu, pour ne pas dire pas du tout, à cette éventualité qu'il avait de toute façon très vite éviencée, faisant confiance à ses parents sur le sujet.
Et, quand on lui présenta la dite jeune fille, il ne tarda pas à comprendre qu'il n'avait eu qu'à moitié raison: certes, elle était très jolie, il n'avait rien à redire la dessus mais, à vrai dire, quand elle entra, une mine tout sauf réjouie sur le visage -son exact contraire à lui- il avcait commencé à se dire que, finalement, cela ne serait peut-être pas aussi simple qu'il l'avait tout d'abord pensé. Néanmoins, la seule idée qu'il allait passer sa vie avec elle l'empêchait de la détester et puis, en plus de cela, elle ne devait pas être si méchante. Ce n'état qu'une impression, il ne savait nullement alors si elle était fondée ou non, mais il se fixa un objectif qu'il jugea très simple pour cette première rencontre: qu'elle lui fasse au moins, au strict minimum, un simple, gentil et joli petit sourire. Cela ne semblait pas être trop difficile, au premiers abords: elle devait être stressée, et il était donc normal et tout à fait compréhensible qu'elle ne rie pas... Autant dire tout de suite qu'il ne tarda pas à déchanter. Quel que soit le sujet de conversation qu'il tente d'aborder, les mots qu'il puisse dire, les questions qu'il pouvait bien lui poser, elle se murait dans le silence, ne semblant pas prête à lui répondre ou à revenir à une humeur plus légère. Il ne laissa pas tomber pour "si peu", évidemment, et continua à essayer de lui parler, que ce soit du temps qu'il faisait dehors à ce qu'il avait mangé la veille en passant par le caractère de ses parents et le nombre de personnes que compartait sa famille. Qu'elle l'écoute ou pas, ce n'était pas un problème: il avait décidé qu'il la ferait sourire, et ce n'était pas parce que le premier contact avait été plus ou moins... Désastreux, appelons les choses par leur nom, qu'il changea d'avis. Et, à partir de ce jour là, il passa le plus clair de son temps à tenter bon gré mal gré de réussir, ce n'était pas gagné d'avance tant elle semblait ne pas l'apprécier. Ses efforts, d'ailleurs, finirent par payer, au fur et à mesure, sans vraiment qu'il s'en rende compte, et bien qu'elle conserva cette force de caractère qu'il lui avait devinée dès qu'il l'avait vue, ils se rapprochèrent quelque peu, pour finalement finir par être proches tout court; et Mary-Morgann finit même par devenir la personne qui comptait le plus à ses yeux, avec Anne-Alexia. Qui ne semblait pas voir les choses du même oeil, en revanche, ça non. Contrairement à ce qu'il avait d'abord pensé, les deux jeunes filles ne s'entendirent pas, mais pas du tout: les hostilités étaient ouvertes, et de toute évidence pas prêtes à être arrêtées, dans la mesure ou ni l'une, ni l'autre ne ferait le moindre effort, au plus grand dam de Vincent, qui se retrouvait entre les deux, bien incapable de prendre le parti de l'une ou de l'autre, se contentant au début d'essayer de les séparer, et dorénavant de les laisser se battre, persuadé que de toute façon, elles ne se détestent pas véritablement mais sont juste trop fières pour l'accepter. Ou peut-être pas, d'ailleurs, mais c'est ce qu'il aime croire, car ainsi il peut penser que plus tard, si elles gagnaient en maturité, elles arrêteraient de se jeter des piques à longueur de temps. Résultat, à présent la situation n'a pas changé d'un pouce... Mais il a encore bon espoir.
La guerre civile éclata à Illea sans même qu'il ai vraiment le temps de s'en rendre compte: les Esprits et les Humains, Ankou et Annahita. Oh, bien sûr, il avait remarqué la différence de règne entre les deux jumeaux, mais n'aurait jamais été jusqu'à penser que cela serait les prémices d'une guerre sanglante, de la séparation d'Illea, des Humains et des êtres aux yeux vides et aux ailes noires qui se cotoyaient pourtant depuis toujours. Si personne dans sa famille ou ses amis proches ne mourut, certains d'entre eux partirent vers l'Ouest d'Illea, où étaient sensés se regrouper tous les Esprits, sous la bannière de la jeune Della'Morte, tandis que eux, Humains, devaient aller à l'Est, sous le règne d'Ankou. Des deux jumeaux il préférait le jeune homme, de toute façon, mais il ne comprit jamais vraiment comment ils avaient pu en arriver là, pourquoi deux personnes comme eux deux n'avaient pas pu s'arrêter sur une décision qui n'aurait pas impliqué de telles mesures, et tant de morts au final à cause de la guerre civile.


Famille:Sa fiancée -si si, quand ils seront mariés ils seront un peu de la même famille, alors bon, je la mets là.8D- une petite soeur, ses parents, et... Bon, je me souviens mal, c'est marqué sur la fiche de A.A et là je suis sur celle de Vince, donc je crois que c'est des cousins, cousines... Et fuck.XD

Aime: Ses amis, sa famille, les couleurs claires, les échecs, sa fiancée, gagner, l'hiver et l'été, lire, raconter des blagues, même si elles ne sont pas toujours si drôles que ça, les grandes soirées, ou plutôt les fêtes en général, les chiens, les lacs, les oiseaux, dormir, ne rien avoir à faire -pas s'ennuyer, nuance, juste ne pas avoir de travail à faire...- les personnes gentilles.

N'aime pas: Devoir rester sérieux trop longtemps, le printemps, avoir trop de travail, être en retard, la pluie, les pommes, le lilas, les forêts, perdre -forcément, s'il aime gagner, c'est qu'il n'aime pas perdre...- le vert clair, les chats mais surtout les poissons, les personnes méprisantes, les disputes, le silence, les filles trop plates -pas qu'il les aime pas, mais c'est tout de suite moins joli, hein...XD- ne pas comprendre, être le dernier à savoir quelque chose d'intéressant, marcher sur de trop longues distances -en même temps, c'est un noble, et on lui demande pas de marcher des heures et des heures, donc tout va bien.

Code du réglement: ... Never, tu sais que je t'adore?XD

Autre chose à ajouter?:
J'ai fait drôlement court, ou c'est qu'une impression? Bah, on m'en voudra pas, Vince est génial quand même!XD
Bah, tant pis, faut croire que j'ai de l'inspi que pour les jolies filles et les transs...Pauvre de moi, décidément.xD


Dernière édition par Vincent Henrin-Klemens le Ven 18 Déc 2009 - 18:27, édité 3 fois
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Cindie Damalis


Humaine, Villageoise

Féminin Nombre de messages  : 19

Localisation  : Ah, je fais une promenade en dehors de la ville, tu risque de ne pas me trouver.^^'
Emploi/loisirs  : J'aime m'occuper des enfants!-^^-
Humeur  : Plutôt de bonne humeur, car il va neiger bientôt! J'en suis sûre!

Inscrit depuis le   : 17/09/2009
Cindie Damalis
Humaine, Villageoise


Feuille de personnage
Age: 14 ans. J'en aurais bientôt 15, et...Oh, je ne suis plus une petite fille.^^
Race: Humaine. Et ce...N'est pas mal, si?O_O
Arme / Pouvoir  : Je prend une machette avec moi...Au cas où. Juste au cas où.^^'

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MessageSujet: Re: HENRIN-KLEMENS Vincent {V.1}   HENRIN-KLEMENS Vincent {V.1} EmptyVen 18 Déc 2009 - 18:33

Validé. ~
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HENRIN-KLEMENS Vincent {V.1}

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